Messages, anecdotes, souvenirs, condoléances…
En l'absence de possibilités de recueillement liée à la crise sanitaire que connaît la France actuellement, nous avons souhaité vous permettre de vous exprimer à travers ce site, pour adresser un dernier message à notre papa, ou nous transmettre vos condoléances, ou des messages, des anecdotes, des photos que nous pourrions publier ici et partager ainsi avec sa famille et ses amis.
Ce site web restera confidentiel.
Angélique - fille
Mon papa,
La première lettre d amour que je t'ai écrite (à maman et à toi), c était le jour de mon mariage pour vous dire merci… celle que j écris aujourd'hui est tellement plus douloureuse...
Comme dirait Jean Ferrat que tu aimais tant, que serais-je sans toi ?
Tu m'as tant appris, tant donné, tant aimé...
Tu m'as transmis le goût de la vie et du bonheur et juste pour cela mille mercis... tu aimais la vie, les plaisirs simples de la vie, être avec les autres, partager, tu pouvais t'extasier tellement facilement devant la beauté des choses, sourire jusqu'aux oreilles avec tes yeux qui pétillaient...
J'adorais ton calme, ta sérénité, ta bienveillance, tes valeurs morales (des fois un peu dépassées mais rassurantes, structurantes)
Combien de fois mon frère, ma sœur ou moi avons entendu à table : "tiens toi droit " !! Tu avais cette prestance et cette élégance des personnes qui se tiennent droites, mais surtout tu étais un homme tellement droit... et tu nous a appris à l'être...
Papa, je te l'ai déjà dit mais je te le redis encore aujourd'hui : tu as réussi la plus belle chose que l'on puisse réussir dans sa vie : ta famille !! Tout l'argent et les biens matériels n'apportent jamais autant de bonheur que ce trésor qu'est la famille...
Je me souviens que souvent à l'adolescence, je me disais que certes, nous n'avions pas la plus belle maison du quartier (tu as dû faire tellement de travaux dans cette maison) mais que c'était la maison du bonheur...
Quand tu me manqueras trop, j'espère que je trouverai l'oxygène dans ces milliers de souvenirs heureux que nous avons vécus ensemble avec maman... tous ces repas à table dans notre petite salle à manger où on pleurait de rire, dans ces milliers de moments de tendresse, de partage, ces grandes fêtes de famille dans la maison de tes parents où ce n'était que rigolade, où l'on montait tous sur les chaises pour chanter (celle de "un elephant sur un escabeau", celle de "la bataille de.."..)
J'adorais ton humour, papa.. un humour toujours fin, sans moquerie... je crois même que la dernière phrase que j'ai entendue sur ton lit avant que cette saloperie de maladie t'empêche de nous parler était une blagouille ...
Tu m as appris à aimer l'art, je me rappelle, petite, de ses revues sur la peinture et la sculpture qui arrivaient à la maison et que j adorais feuilleter assise sur tes genoux
Et plus grande, nous avons partagé ce goût pour l'art... je me souviendrai longtemps des vernissages où je t'emmenais au Centre Pompidou et j'étais tellement fière d y être avec toi...
Notre amour pour Paris, tes adieux à Paris encore le mois dernier où nous avons déjeuné du crabe...
Je te remercie aussi vivement, papa, d avoir trouvé des forces et du courage (et je sais que ça n a pas été facile pour toi avec ta maladie qui t'abimait tellement) pour venir découvrir mon île ; je sais que dorénavant, je pourrai te retrouver sur la plage des grands sables...
Tu m'as remplie papa, toi et maman, vous avez été mes fondations et des fondations solides...
Merci encore d'avoir été un papi génial pour mes filles, de t'en être autant occupé, d'avoir partagé tant de moments avec elles...
J'aurais tellement voulu que tu guérisses parce que j'avais encore tellement de choses à partager avec toi, la vie est toujours trop courte pour les personnes qu'on aime...
J ai toujours su que j aurais énormément de difficultés à te quitter, à te dire au revoir... je n'ai pas encore trouvé la recette pour me résoudre à accepter de ne plus te voir, t'entendre, t'emmener ici ou là, te faire découvrir tel livre, t'appeler pour te demander comment vous allez... mais je vais essayer, je te le promets au nom de l'amour de la vie que tu m as transmis...
Mon papa, l'homme de ma vie, je t'aime tellement...
Je serai pour toujours "ton Angelique" et tu seras pour toujours "mon papa"
Barbara (fille)
A toi, j'aurais aimé te parler plus de moi avant, j'aurais aimé plus t'écouter.
A toi, que j'aurais aimé prendre plus souvent dans mes bras, t'embrasser avant le virus, avant que celui-ci m'empêche de le faire, m'empêche de te dire au revoir en te serrant contre moi. J'ai tant de souvenirs avec toi, toi pour qui ta famille était si importante, toi qui veillais à ce que nous partagions et profitions toujours ensemble des moments de la vie, toi qui aimais tant plaisanter...
A toi, mon papa
Je t'embrasse très fort
Noémi - petite-fille
« Coucou Papi,
Ça ne fait que quelques jours que tu es parti, mais tu nous manques déjà énormément. Je crois que mon cerveau n’arrive pas à comprendre que je ne te reverrai plus avant un bon bout de temps. C’est très bizarre.
J’espère que tu vas bien là où tu es et que tu es heureux. Tu étais quelqu’un de drôle, courageux et gentil, qui s’est battu jusqu’au bout contre la maladie. je suis si fière de t’avoir eu comme grand père. Tu mérites largement d’aller au paradis et de ne plus jamais souffrir.
On ne t’oubliera jamais. Tu resteras pour toujours dans ma mémoire. Et puis un jour, on finira par se revoir, c’est sur !
Tu nous manques à tous. Gros bisous.
Nono »
Elsa - belle-fille
A mon beau-père préféré,
Après plusieurs années de lutte contre la maladie, vous nous avez quittés ce jeudi, en laissant un grand vide derrière vous. Je garderai toujours en mémoire votre gentillesse, votre humour (apparemment héréditaire…), votre générosité et votre courage. Toujours souriant, toujours curieux des autres ("alors Elsa? Quoi de neuf à Béthune? ») et du monde, je ne vous ai jamais entendu vous plaindre, même lorsque la santé vous a fui. Une des dernières fois où nous nous sommes parlés, vous vous êtes excusé de n’être pas rasé. Pour vous, la politesse et le respect de l’autre allaient jusque là, alors que visiblement les forces vous lâchaient et que vous aviez bien d’autres difficultés à affronter. Cette image me restera longtemps.
Mais je veux surtout retenir que vous aimiez la vie et ses petits bonheurs simples: une rencontre au tennis-club avec vos amis, une bière sous la toile du jardin, un repas de famille ou une blague avec vos petits-enfants...Vous avez été pour eux un grand-père bienveillant, espiègle et attentionné. Vous leur manquez beaucoup.
Les fêtes de Noël ne seront plus les mêmes sans votre magnifique crèche qui occupait tout le salon (ou toute la cuisine).Chaque année, il y avait une subtile nouveauté, même si les éléments du décor étaient toujours les mêmes. On y sentait le plaisir de retrouver une âme d’enfant, celle qui ne vous a jamais quitté (jusqu’à vos 77 ans).
Je vous embrasse avec toute mon affection, et beaucoup d’émotion.
Celle que vous appeliez « votre belle-fille préférée »
Elsa
Oscar - Petit-fils
Mon papi, c’est le meilleur papi du monde (même s’il n’est plus là, il l’est toujours).
Il était super gentil, il était rigolo. Je me souviens quand il m’appelait Rollmops rare, ça me faisait rire.
Il me laissait jouer à des jeux sur son ordinateur, il m’avait donné deux balles de tennis parce qu’il y jouait.
J’ai revu quelques photos avec lui, de quand j’étais petit, et à chaque fois il me regardait gentiment. Il adorait quand je lui jouais du cornet, surtout le « French cancan ». Je penserai à lui à chaque fois que je le jouerai.
Papi, tu me manques énormément.
Gros bisous
Oscar
Geneviève et Albert Ostermann
Nous avons un regret, celui de n'avoir pu te dire au revoir.
Mais nous avons aussi une pépite au fond du cœur, celle d'avoir pu partager avec toi de très bons moments, comme la journée du 2 novembre 2019, dont nous gardons un magnifique souvenir.
Tu nous manqueras, c'est certain, mais ta place est à jamais là, en nous.
Avec toute notre affection.
Roseline et André Jacquinet
Nos plus sincères condoléances à Laurent, Eliane et à toute la famille.
Nous sommes de tout cœur avec vous.
Louis Muller - Neveu
Pensées vers un oncle qui avait le sens de la fête et de la dérision.
Un homme aussi à l’écoute des autres avec une sensibilité et une finesse d’esprit.
Thea - Petite-fille
Papi,
Aujourd’hui tu n’es plus parmi nous, et cela fait déjà quelques jours. Cependant, j’ai toujours du mal à me dire que je ne te reverrai plus, que le lundi quand je repartirai de chez mamie, on ne se croisera plus sur le chemin, ou qu’on ne fêtera plus Noël ensemble. Mais je continuerai de penser à toi dès que je passerai un de ces moments loin de toi.
Lorsque j’étais petite tu t’es toujours occupé de moi. Tu m’emmenais à toutes mes activités et surtout à mes cours de guitare, tu m’aidais à réviser mon solfège et mes partitions, tu aimais bien battre la pulsation pour moi. Je me souviens que lorsqu’on attendait pour mon cours de guitare, tu trouvais toujours une activité pour me divertir alors que je m’ennuyais durant ces longues minutes d’attente.
Après une longue bataille la maladie a fini par s’emparer de toi, tu t’es battu jusqu’au bout. Jusqu’au bout tu essayais de faire bonne figure et de nous apporter de la joie et du bonheur grâce à tes blagues et tes réflexions.
J’espère que tu ne souffres plus et que tu es dans un bel endroit parce que tu le mérites, la vie n’a pas été facile avec toi, mais tu as toujours réussi à rester positif et nous apporter du bonheur.
Au revoir papi, j’espère qu’un jour on se réunira de nouveau
Emmi - Petite-fille
À mon papi préféré:
depuis que je suis toute petite tu étais là, et maintenant je t’ai perdu et je sais que tu vas terriblement me manquer. Tu étais plus qu’un grand-père pour moi, à toujours vouloir me faire rire même lorsque tu n’étais pas au meilleur de ta forme, faire des remarques drôles, critiquer les femmes au volant (c’est pingouin à lunettes), te moquer gentiment des bons plats de mamie (y’a trop de peau sur tes tomates on s’en souviens). Tu t’es tellement occupé de moi, tu me faisais travailler ma musique, tu me faisais jouer sur tes genoux, tu m’emmenais à mes activités, tu venais toujours me chercher un jour dans la semaine pour que je mange chez toi, tu nous emmenais faire des balades, tu nous gardais le mercredi quand il y avait pas école, tu prenais soin de moi quand j’étais malade... Tu faisais tellement de choses pour moi que je ne peux même pas toutes les énumérer.
J’ai tellement de bons souvenirs de toi que je pourrais jamais oublier: toi m’emmenant au poney et t’occuper de lui parce que j’avais peur de m’en occuper, toi qui nous emmenais au tennis avec toi, toi qui restais avec moi pendant mon stage de tennis, toi qui mettais « viens boire un petit coup à la maison » et « les gendarmes » dans la voiture en m’emmenant au théâtre, toi qui nous trouvais à mes sœurs et moi toujours un jeu sympa quand tu venais nous garder...
Tu nous as quittés mais ce n’est pas pour ça que je t’oublierai, tu resteras toujours ce papi génial et courageux qui s’est battu coûte que coûte contre une maladie dévastatrice et ce sans jamais t’en plaindre, tu as été le papi parfait. Je pouvais pas rêver mieux
Je t’aime et ça pour toujours,
Laeli - Petite-fille
Papi aujourd’hui la maladie t’a emporté, elle t’a enlevé à nous ta famille.
Elle a enlevé un grand-père exceptionnel plein de belle qualité. Elle nous a enlevé notre papi clown, notre papi courageux, dévoué, notre papi plein de vie qui s’est dévoué pour nous.
Je suis tellement fière d’avoir eu un papi comme toi, et je suis sûr que je n’aurais pas pu rêver meilleur papi que toi.
Tu étais le bonheur de mon enfance, cette petite personne toujours joyeuse et prête à tout moment si j’avais besoin d’elle.
Tu t’es tellement occupé de mes soeurs et moi, comme de tes autres petits enfants, tu savais être là, tu nous as tellement fait rire, tu jouais avec nous, tu nous emmenais partout.
J’ai tellement de beaux souvenirs à tes côtés, des souvenirs tellement parfaits.
Tu nous emmenais chercher des cerises en haut de ton cerisier avec lesquels tu nous faisais de belles boucles d’oreilles, tu nous emmenais nous promener au parc de la seille, tu nous prenais sur les genoux dans la voiture pour nous donner l’impression qu’on conduisait ta voiture, tu nous as emmené pour la première fois voir la Tour Eiffel, tu nous accompagnais à nos sorties scolaires, tu étais là pour tous nos anniversaires ...
Ce sont toutes ces petites histoires, et tant d’autres encore, dont je me souviendrai et que je raconterai un jour à mes enfants.
Tous ces souvenirs me rappellent la belle personne que tu étais. Malheureusement la maladie t’a pris à nous un peu trop tôt, mais je sais que tu t’es battu corps et âme pour profiter le plus longtemps de nous.
Tu es toujours resté joyeux, heureux tu étais toujours là pour nous malgré ce long combat.
Tu as su être un exemple pour moi jusqu’au bout tu m’as montré qu’il fallait faire face à ces épreuves, à se battre contre toutes difficultés.
Tu me manques énormément papi.
Je t’aime tellement, je t’ai tellement aimé, tu vas tellement me manquer et je te promets que je t’aimerais à tout jamais.
Laeli ta première petite fille
Famille Lang
Nous avons passé tellement de bons moments ensemble.. d’abord en tant que collègues avec tellement de fous rires lors des soirées du personnel ou lors de votre départ en retraite .... Puis la grande amitié que nous avons tissé Philippe et moi avec Angélique puis avec Barbara nous a permis de vivre ensemble de grandes émotions ...mariages, naissances, communions, baptêmes, Noël, anniversaires ..Et nous avons toujours été accueillis par toute la famille comme si nous en faisions partie.
Collègue, époux, papa, papi, ami.. plusieurs casquettes mais une seule et belle personne dont nous garderons de merveilleux souvenirs.
Au revoir Charles, vous allez beaucoup nous manquer ..
À toute la famille,
Nous sommes de tout cœur avec vous. Nous vous assurons de toute notre sympathie et de notre affectueux soutien.
Nous vous présentons nos plus Sincères condoléances.
Valérie, Philippe, Thomas et Perrine
À toute la famille,
C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai appris le décès de Charles Muller.
Je m’associe à votre peine et présente à toute la famille mes très sincères condoléances.
Anna Episcopo
Arnaud Militon - Gendre, et ses enfants
Charles,
En espérant que vous ayez trouvé la-haut ce que vous espériez.
Même si vous n'êtes plus de ce monde, ici vous vivrez encore à travers de chacun de vos trois enfants dont vous étiez si fier.
Reposez en paix
Arnaud, Baptiste, Valentine, Chloé et Esteban
Michel Muller - Neveu
Charles, j'ai eu une grande chance dans ma vie, c'est qu'étant l'aîné des cousins de notre famille , j'ai eu le privilège de te connaître plus longtemps que les autres car c'est vraiment un privilège.
Je garderai toujours le souvenir d'un oncle qui était une belle personne, plein d'humour, cultivé, curieux de tout, à l'écoute des autres, courageux et lucide devant la maladie.
Ces dernières années, chaque fois que l'on s'appelait tu commençais par me demander si nous allions bien alors que c'est toi qui souffrait .
La dernière fois que je t'ai eu au téléphone , tu venais d'apprendre que tu avais contracté ce putain de virus mais tu me disais "je vais continuer à me battre "
Beaucoup de souvenirs remontent à ma mémoire de moments partagés depuis mon enfance et tous étaient pour moi un réel plaisir, et si je dois n'en citer qu'un aujourd'hui, ce sont tous les repas de famille qui ne se terminaient jamais sans que tu ais fait chanter à toute l'assemblée " la bataille de Reischhoffen "
Charles je t'appréciais beaucoup et je sais que c'était réciproque,
je t'aime, mon oncle.
Magali Muller - Nièce
Ce que je voudrais dire de cet oncle que j'ai appris à connaitre, et à apprécier de plus en plus au fil des années.
Je garderai de lui le souvenir d un homme soucieux de sa famille et de réunir sa famille, aimant, quelqu'un de pudique, très courageux , digne, curieux de tout, gai, cultivé, tout en restant simple.
Le plaisir a été toujours plus grandissant pour moi de bavarder avec toi tonton Charles. Ton humour, ta finesse d esprit, ton amour pour la musique que nous partagions. J'aurai toujours une pensée pour toi lorsque je ferai vibrer ma harpe.
Tu vas me manquer... 🎶🎵🎶
Jeanine Duval - soeur, et Isabelle Cerou - nièce
Nous vous adressons nos condoléances émues, nous sommes de tout coeur avec vous.
Nous garderons de Charles le souvenir d'un frère et d'un oncle aimant.
Nous partageons votre grande peine.
Affectueusement
Audrey - petite-nièce, Florent - petit-neveu, Laura, Jules et Georges
Nous vous adressons nos sincères condoléances dans cette douloureuse épreuve.
Nous pensons bien à vous et aimerions vous soutenir.
Puisse notre grand-oncle reposer en paix.
Bon courage
Henri , Sarah, Hugo et Lisa Appaldo
Charles,
Permettez nous de vous appeler ainsi..
De vous, nous garderons le souvenir d’un homme élégant, joyeux, ayant le sens le sens de l'humour ( et avec Henri il en fallait beaucoup !), un papa et un papi aimant et protecteur.
Nous avons partagé beaucoup de ces réunions de famille (anniversaires, mariage, communions, baptêmes) et à chaque fois ce n’était que rires et bonne humeur… on sentait que vous étiez heureux du bonheur de votre belle et grande famille.
Votre présence à ces petits événements va nous manquer, mais de là haut vous saurez nous envoyer ces petits signes que nous pourrons alors interpréter et comprendre que vous serez toujours parmi nous...
Marie,Héline et Patrice Consbruck
A nos très chers amis, Mme Muller et la famille,
Il est des douleurs difficiles à consoler mais quelques mots peuvent les apaiser
Quand le chagrin aura pu s’enfuir
Il restera les meilleurs moments
Nous vous présentons nos plus sincères condoléances
Nicolas
Charles, par où commencer ? Je tenais tout d’abord à vous dire merci, merci pour ses moments partagés, merci de m’avoir accueilli dans cette belle famille que vous avez construite. Je sais que nous n’avons pas passé beaucoup de temps ensemble mais je garde dans mon esprit et dans mon coeur votre joie de vivre, votre amour envers vos petites filles adorées et ce jour-là où nous nous sommes vus pour la dernière fois c’étais un moment court mais un moment de bonheur et de plaisir. Vous étiez un grand homme et vous le serez encore et toujours dans nos cœurs, reposez en paix.
Toutes mes condoléances à votre famille .
Vera - petite-fille
Vera a voulu faire un dessin pour son papi et sa mami
Antonella fratta
Charles,
Nous avons eu, à plusieurs reprises, l'occasion de partager un dîner de Noël.
Je garde un souvenir merveilleux de ces moments amicaux, entourés, en ce qui me concerne de mes parents et d'amis précieux.
Voir ainsi les parents, enfants et petits enfants partager et rire ensemble représente le goût de la vie: celui que vous aviez.
Je garderais de vous le souvenir d'un homme charmant, élégant et appréciant ma cuisine...
Reposez en paix Charles.
Antonella fratta
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Toutes nos sincères condoleances.
Merci laurent et je vous présente également mes sincères condoleances.
De la part de Michel et Antoinette FRATTA
Claude (neveu) et Anne Muller
Nous nous associons à votre peine en ce moment si douloureux et présentons toutes nos sincères condoléances à toute la famille.
Jean-Bernard Dutt
Je suis très affecté de cette mauvaise nouvelle je vous adresse ainsi qu’à votre mère et vos sœurs nos très sincères condoléances .
Je n’ai pas eu beaucoup d’amis avec qui je partageais autant d’amitié
Affectueuses pensées à tous
Stéphane Lehmann
Une pensée à toute la famille.
Grande tristesse pour la disparition de Charles, survenue rapidement dans de telles circonstances, malheureusement si intimes.
Après de longues années de maladie, qu'il puisse enfin trouver l'apaisement nécessaire à son repos.
Au revoir Mr Muller
Stéphane dit "Steb"
Patricia et Pascal Lehmann
Nous sommes de tout cœur avec vous. Nous vous assurons de toute notre sympathie et de notre affectueux soutien.
Nous vous présentons nos plus Sincères condoléances.
Jean-marc et Astrid Porté
Nous vous adressons nos sincères condoléances dans cette douloureuse épreuve.
Affectueuses pensées à toute la famille.
Patricia Lehmann et Georges Fraga
Recevez nos plus sincères condoléances pour le décès de votre mari papa et papy.Nous sommes de tout cœur avec vous
Jean-Marc Kanny
Charles,
Lorsque la maladie te donnait un peu de répit, tu venais nous faire un petit coucou au tennis.
La dernière fois, c’était le 2 mars.
Hélas, je n’étais pas là. Je m étais mis en retrait du groupe, suite à un petit problème musculaire.
Le dimanche 8 mars, en fin d’après-midi, tu me passes un coup de fil pour prendre de mes nouvelles… « alors p’tit gros t’es malade ? ? »
Ta voix était fatiguée.
« Tu sais, j’en ai marre ».
C’est la première fois que je t’entendais te plaindre ainsi…
Au début de ta maladie, tu nous disais que tu avais beaucoup de chance d’être bien entouré.
Heureusement que tu avais opté pour une voiture automatique, tu pouvais toujours sortir et bouger.
Tu tenais ta place à l’animation estivale, le mardi tu t’occupais du barbecue.
Quand tu as stoppé toutes ces activités, on aurait toujours voulu t’avoir avec nous.
Jamais au grand jamais tu ne te plaignais.
Ce dernier coup de fil est à jamais gravé dans ma mémoire.
Le savais-tu ?